Travaux de doctorant.e.s.
Dans de nombreuses institutions de mémoire en France et sur le web, sont aujourd’hui accessibles à tous les publics des fonds liés au passé colonial qui font l’objet de contestations et de débats au sein de la société civile. Les professionnel·le·s de l’information doivent désormais développer de nouvelles compétences pour prendre en compte ce patrimoine culturel, qu’il s’agisse de mettre à disposition des fonds d’archives, de restituer des objets, de réécrire le contexte historique qui les entoure d’une manière plus critique et plus inclusive.
Contact : sophie.gebeil[at]univ-amu.fr